Kamelancien raconte comment il s’est rapproché du clan Khabib pendant le confinement
Si Kamelancien a commencé les sports de combat avant le rap, c’est grâce au deuxième confinement qu’il a rencontré Khabib Nurmagomedov et les membres de sa team. Lors de son passage dans le podcast A une main, il est revenu sur leur connexion. Gentsu vous raconte tout.
S’il s’est éloigné de la musique et de la scène depuis plusieurs années, Kamelancien reste très actif sur les réseaux sociaux. Cependant, il a décidé de faire une exception le mois dernier en répondant à l’affirmative à l’invitation de Kofs pour son projet où il a réuni tous les artistes qui lui ont donné envie de faire du rap.
Mais avant le rap, Kamelancien avait commencé la boxe sous la direction de son grand frère qui était entraîneur dans une salle. S’il n’aimait pas la discipline dans la jeunesse, celui qui a taclé Franck Gastambide a désormais repris le flambeau. D’ailleurs, on a pu le voir s’entraîner dans le camp du clan Khabib il y a quelques années de cela.
Kamelancien raconte comment il s’est rapproché du clan Khabib pendant le confinement
Leur rencontre s’est faite d’une manière plutôt originale comme Kamelancien l’a raconté dans le podcast A une main. Sous les conseils d’un ami, il s’est logé dans un hôtel où il logeait :
C’est un épisode de ma vie, c’est ouf. Je suis arrivé à Dubai pendant le deuxième confinement (…) je les ai tous rencontré, c’est devenu presque des amis psk on était deux mois ensemble ils m’ont invité dans le camp d’entrainement (…) Ils m’ont invité au Daghestan (…) ils ont insisté plusieurs fois d’affilées. J’ai pris un vol il n’y avait pas encore l’histoire Russie-Ukraine. Ils sont venus me chercher à l’aéroport, jusqu’au dernier jour ils se sont occupés de moi. Je me suis entraîné au camp avec eux.
Puis, le cousin de Khabib Nurmagomedov a rejoint Kamelancien à son tour à Paris. Celui qui s’est prononcé sur l’interdiction de l’abaya en garde un bon souvenir puisqu’il a déclaré :
Moi ce qui m’a le plus interpellé chez eux au niveau du sport c’est la discipline. Ça m’a marqué et que j’inculque à mes élèves maintenant (…) Là-bas, je m’entrainais du lundi au samedi deux fois par jour (…) on faisait deux sparrings par semaine (…) là-bas, ils combattent pour leur famille.