Justin Bieber traumatisé par Diddy ? Il publie une sorte d’appel à l’aide
Depuis quelques heures, Justin Bieber enchaîne les stories et publications Instagram aux accents sombres et vulnérables. Le chanteur canadien évoque sa colère, sa fatigue, ses traumatismes non guéris… et sa foi comme seul point d’ancrage. Des mots bruts, troublants et puissants. Gentsu vous en dit plus.
Ces derniers jours, Justin Bieber a pris la parole comme rarement. Fini les filtres, les photos de lac et les stories musicales : c’est un torrent d’émotions que l’artiste de 30 ans a lâché sur Instagram puisqu’il a écrit dans un premier temps :
Plus j’essaie de grandir, plus je me concentre sur moi-même, et c’est épuisant. Je suis fatigué de penser à moi
Justin Bieber ne mâche pas ses mots : il sait qu’il est brisé, il reconnaît ses problèmes de colère. Un aveu sans fard, où il raconte avoir tenté toute sa vie de ressembler à ceux qui voulaient le « réparer ». Le résultat ? Un épuisement émotionnel, une sensation d’échec et une lassitude qui transparaît dans chaque ligne.
Justin Bieber traumatisé par Diddy ? Il publie une sorte d’appel à l’aide
Le chanteur canadien a exprimé son épuisement face aux demandes de « guérison » et a demandé aux gens d’arrêter de questionner son bien-être. Dans l’un des commentaires, un internaute ironise cruellement sur sa situation financière et son accès supposé facile à l’aide psychologique. Une remarque brutale, alors que le chanteur semble précisément supplier d’être entendu autrement que par des jugements.
Face à cette détresse, Justin Bieber oppose à la thérapie traditionnelle une autre forme de recours : sa foi. « Jésus est la seule personne qui me donne envie de faire de ma vie quelque chose tourné vers les autres », confie-t-il.
Dans d’autres publications, le jeune papa partage ce qui ressemble à des extraits de messages privés — peut-être rédigés à chaud. On l’y voit affirmer des vérités crues sur le trauma et la colère :
Ma colère est une réponse à la douleur que j’ai vécue. Demander à une personne traumatisée de ne pas être traumatisée, c’est simplement méchant. Cette amitié est officiellement terminée. Je n’accepterai jamais qu’un homme appelle ma colère une crise.
Un appel à l’aide ? Une libération ? Difficile à dire. Mais une chose est sûre : Justin Bieber ne joue pas un rôle. Cette authenticité brutale, loin des codes policés de la communication people, interpelle et questionne.
