Sopico a failli signer dans le label 92i de Booba mais a décliné…à cause de la bagarre à Orly
Trois ans après Nuages/Orages, Sopico a fait son retour dans les bacs avec VOLEZ-MOI. A cette occasion, le rappeur est revenu sur un moment fort de sa carrière où il a failli finir par signer chez Booba comme il l’a raconté à DOSE Rap. Gentsu vous dévoile tout.
Ces derniers mois, Sopico a enchaîné les singles. De quoi rassurer ses fans qui s’impatientaient de le voir de retour. Finalement, son nouvel opus VOLEZ-MOI est disponible depuis le 29 août dernier. Il comporte 17 titres. Un retour en force.
Lors de son interview avec DOSE Rap, Sopico a évoqué un moment primordial de sa carrière : sa performance dans Colors où il a chanté Le hasard ou la chance en 2017. De là, le rappeur a reçu de nombreuses offres :
En fait, il s’avère que je suis le premier Français de nationalité française à sortir un Colors à l’époque. A cette époque là, il s’est passé des choses très intéressantes pour moi qui ont été extrêmement formatrices. Tout le monde voulait me signer, toutes les maisons de disques. Tous les labels indés, tous les tourneurs et aussi d’autres gens dont le 92i avec Booba dont des labels hyper intéressants dont Tefa dont Panenka, tout le monde est venu me voir, me proposer des contrats.
Sopico a failli signer dans le label 92i de Booba mais a décliné…à cause de la bagarre à Orly
Sopico ne savait plus où donner de la tête et aurait pu se faire avoir. C’est pour cette raison qu’il a tout refusé. Toutefois, il avait rencontré Anne Cibron, la manageuse et collaboratrice emblématique de Booba, l’artiste parisien raconte :
92i j’ai failli y aller parce que c’est exceptionnel, ils ont développé des projets tellement différents (…) On discute et là je me sens respecté à mort contrairement à d‘autres endroits où ça me parle chinois de ouf. Le seul truc, Booba énormément de respect mais à une époque il a traumatisé tout le monde et d’autres générations il a ce qu’il a et il ne l’a jamais perdu (…) malheureusement, il y a la bagarre à Orly et là je suis en pagaille (…) Entre les doutes les incertitudes et la polémique, j’ai préféré mettre ça entre parenthèses.
Mais Sopico n’a pas de regrets et explique pourquoi :
Je pense que ça a été quelque chose de positif même si j’aurai peut être fait une fulgurance mais je n’étais pas prêt pour signer.
Rien n’arrive par hasard !