Kamelancien révèle avoir arrêté le rap à cause de l’ultimatum de sa mère
Cela fait maintenant plusieurs années que Kamelancien a mis le rap de côté. Mais ce choix a notamment été motivé par la demande radicale de sa mère. Une période difficile comme il l’a indiqué lors de son passage dans le podcast A une main. Gentsu vous en dit plus.
Bien avant de commencer la musique, Kamelancien a commencé par les sports de combat. En effet, son grand frère était entraîneur dans une salle et l’avait embarqué dans ce milieu. Mais s’il exerce lui-même ce métier aujourd’hui et a même côtoyé le clan Khabib, il a marqué de nombreux esprits grâce à sa musique.
Lors de son passage dans le podcast A une main, Kamelancien a expliqué que beaucoup avaient été frustrés de ne pas avoir pu réaliser leurs rêves à cause de leurs parents. Mais celui qui a récemment collaboré avec Kofs a compris que cela venait des vécus de son père et de sa mère mais aussi de l’image que cela pouvait donner aux autres. Un problème générationnel donc.
Kamelancien révèle avoir arrêté le rap à cause de l’ultimatum de sa mère
Alors que le succès est déjà au rendez-vous lors de son premier album, la mère de Kamelancien a du mal avec cette célébrité dont lui parle son entourage. L’ancien artiste s’est remémoré qu’elle l’avait mal pris :
Elle me parlait plus. Je mettais l’argent sur la table, elle me le lançait dans la figure (…) le daron aussi ça le gênait.
Mais c’est notamment pour elle que Kamelancien a tiré un trait sur la musique puisqu’elle lui a lancé « si tu continues la musique je te renies ». Il s’explique :
C’est la pire phrase que j’ai connu de toute ma vie. Quand ma mère me dit ça, bah j’arrête. Sauf que moi je suis un fou, j’ai le sang chaud. Bah j’arrête tout du jour au lendemain.
Mais Kamelancien a nuancé : « J’arrête pour elle mais je n’arrête pas que pour ça. Moi à la base je fais de la musique, je ne connais pas le showbiz (…) j’étais un passionné à la base (…) je l’ai perdu direct le côté passionnel après le premier, le deuxième, je commence à être approché (…) et là, ça y est c’était fini ». L’industrie avait donc fini par le dégoûter.