« J’ai pas d’ennemis, c’est eux qui m’aiment pas » : Aya Nakamura répond à ses haters avec Doggy
Ce vendredi 29 mars, Aya Nakamura a enfin publié Doggy sur les plateformes. Celui-ci avait fuité il y a quelques années de cela sur la Toile et les paroles tombent à pique vu les dernières polémiques. Gentsu vous explique tout.
Ces dernières semaines, Aya Nakamura fait la une des médias pour de tristes raisons. Tout a commencé avec une information relayée par l’Express disant qu’Emmanuel Macron lui aurait proposé de chanter les tubes d’Edith Piaf lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024. Si beaucoup l’imaginaient déjà mettre le feu, d’autres se sont montrés sceptiques que ce soit des personnalités publiques ou même des internautes.
Petit à petit, cette affaire s’est transformée en polémique et a fait parler d’elle aux quatre coins du monde à cause d’une banderole. En effet, des individus l’ont ciblé en reprenant des paroles de Djadja déclinées de la manière suivante :
Y’a pas moyen Aya, ici c’est Paris, pas le marché de Bamako !
Face aux différentes publications s’en prenant à Aya Nakamura, la justice a décidé d’ouvrir une enquête. Mais ce n’est pas pour autant que la chanteuse se laisse intimider puisqu’elle sort toujours la carte de l’autodérision pour se moquer de ses détracteurs.
« J’ai pas d’ennemis, c’est eux qui m’aiment pas » : Aya Nakamura répond à ses haters avec Doggy
Ce jeudi 28 mars, Aya Nakamura a annoncé la sortie du clip de son nouveau single : Doggy. De nombreux fans connaissaient déjà le titre puisqu’il a fuité sur la Toile en 2019 sous version incomplète. Sortie à minuit sur toutes les plateformes, la chanson est composée de paroles qui tombent parfaitement avec la situation puisqu’on peut l’entendre interpréter :
J’ai pas d’ennemis moi, c’est eux qui m’aiment pas, un tas d’ennemis mais j’les connais même pas (…) Pas besoin d’me valider, j’fais la une des magazines. Rien qu’ça combat, combat pour moi Je peux dead, il en abuse et moi je craque. Ça c’est c’est coup bas, coup bas, coup bas.
Une bonne façon de fermer la bouche de ceux qui ne l’apprécient pas. En tout cas, le débat autour des JO n’est toujours pas clôturé et les héritières d’Edith Piaf ont récemment donné leur feu vert concernant la participation d’Aya Nakamura.
