Dani Alves condamné à quatre ans et demi pour agression sexuelle

Le 23 Fév 2024 à 16:40 par Sikagz

Deux ans après avoir été ciblé par une plainte pour vi*l, la justice vient tout juste de trancher dans l’affaire Dani Alves. Des suites de son procès, l’ancien footballeur a été condamné à plus de quatre ans de pris*n. Gentsu vous en dit plus.

Après avoir rangé les crampons de manière définitive, Dani Alves a fait la une des médias pour des raisons beaucoup plus sombres que ses performances sur le terrain. En effet, une jeune femme l’a accusé de vi*l après une soirée en boîte de nuit à Barcelone fin 2022.

Rapidement, le sportif avait pris la parole pour nier les faits et a déclaré :

Je voudrais tout nier. Oui, j’étais dans cet endroit, avec d’autres personnes, en train de profiter. Et ceux qui me connaissent savent que j’adore danser. Je dansais et m’amusais sans envahir l’espace des autres. Je ne sais pas qui est cette dame. Non, je n’ai pas fait ce qu’elle a dit.

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Une enquête a alors été ouverte « pour un délit présumé d’agression sexuelle à la suite de la plainte présentée par une femme contre un joueur de football ». Quelques jours plus tard, Dani Alves a été arrêté et placé en garde à vue en Espagne.

Dani Alves (40 ans) condamné à quatre ans et demi pour agression sexuelle

Depuis, Dani Alves avait été placé en détention provisoire durant un an jusqu’à son procès qui s’est achevé il y a deux semaines de cela. Finalement, la justice espagnole a rendu son verdict et l’a condamné à quatre ans et demi de pris*n pour agression sexuelle. La peine est en dessous de ce qu’avait réclamé le parquet (9 ans). Celle-ci s’accompagne de cinq ans de liberté surveillée. Son avocat a annoncé qu’il allait faire appel de la décision.

La plaignante aurait « demandé à plusieurs reprises de la laisser partir, mais l’accusé l’en a empêché ». Plus d’un an après les faits, la jeune femme est toujours en « situation d’angoisse et de terreur » selon des informations du ministère public. Le tribunal a notamment souligné à ce sujet-là :

La v*ctime n’était pas consentante et il existe des éléments de preuve qui, au-delà du témoignage de la plaignante, permettent de considérer le vi*l comme prouvé.


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