Kim Kardashian dit avoir envie de « péter un câble » à cause du comportement de Kanye West
Kim Kardashian confie sa difficulté à gérer sa relation avec Kanye West, soulignant son désir de rester forte pour leurs enfants malgré le stress engendré.
Résumé de l'article
Kim Kardashian confie sa difficulté à gérer sa relation avec Kanye West, soulignant son désir de rester forte pour leurs enfants malgré le stress engendré.
Dans l'épisode du 27 novembre de The Kardashians, la femme de 45 ans a accompagné Scott Disick pour un scanner cérébral. Ce contrôle intervient quelques temps après que les médecins lui aient annoncé avoir découvert un petit anévrisme dans son cerveau lors d'un examen.
Au cours de cet épisode, Kim Kardashian s'est confiée sans détour sur sa relation avec son ex, Kanye West. "Au fait, je suis désolé pour tout ce que tu traverses. Ça a l'air stressant", lui a dit Scott Disick, faisant référence au rappeur de 48 ans, sans le nommer explicitement. « Franchement, quand je vois certaines choses, je me dis : putain ! ».
"C'est difficile", a confié Kim Kardashian à Scott Disick. Dans un confessionnal, les producteurs ont indiqué que Kanye West était "très médiatisé en ce moment", et Kim a déclaré : "Je n'arrive pas vraiment à interagir. Je pense que c'est mieux ainsi".
Kim Kardashian a ensuite donné à Disick un aperçu plus détaillé de la situation réelle avec son ex-mari, car elle a déclaré que le rappeur ne l'avait "jamais appelée", malgré les publications affirmant le contraire. "Je veux dire, j'encourage toujours les relations, mais les relations saines", a-t-elle déclaré, avant d’ajouter : "Parfois, j'ai juste envie de craquer, mais je n'y arrive pas. Je n'y arrive tout simplement pas. Mon seul objectif et mon seul travail, c'est d'être forte pour mes enfants."
Kim Kardashian a évoqué sa relation avec Kanye West
Kim Kardashian s'est exprimée avec franchise sur sa relation tumultueuse avec Kanye West, qu'elle a épousé en 2014 et dont elle a divorcé en 2021, durant cette saison de The Kardashians : "Je me sentais toujours très mal, toujours sur la défensive, et j'ai toujours voulu l'aider", a-t-elle confié. Elle a ajouté qu'elle se disait : "J'aurais dû persévérer" ou « J'aurais pu l'aider », mais qu'aujourd'hui, la mère de famille ne ressent plus "cette responsabilité personnelle". Le chapitre est donc clos.
