Diddy : sa mère nie avoir été frappée par son fils et s'en prend à 50 Cent suite au documentaire
La mère de Diddy dément des accusations portées dans un documentaire produit par 50 Cent, dénonçant des inexactitudes et une instrumentalisation de faits passés.
Résumé de l'article
La mère de Diddy dément des accusations portées dans un documentaire produit par 50 Cent, dénonçant des inexactitudes et une instrumentalisation de faits passés.
Après plusieurs semaines d’un procès très médiatisé, Diddya été condamné au mois d’octobre dernier pour transport de personnes à des fins de prostitution. Toutefois, il a été blanchi des charges plus lourdes de trafic sexuel et d’association de malfaiteurs, qui lui étaient reprochées depuis juillet.
Ce scandale a fait le tour du monde. C’est pour quoi, 50 Cent a décidé de sortir un documentaire sur Netflix, intitulé Sean Combs: The Reckoning. Disponible depuis le 2 décembre sur la célèbre plateforme, le programme est un vrai succès. Toutefois, les avocats de Diddy ont décidé de réagir avec un communiqué, où l'on peut lire: "Le 'documentaire' de Netflix est une attaque honteuse. Le teaser diffusé aujourd'hui confirme que Netflix s'est appuyé sur des images volées qui n'ont jamais été autorisées à la diffusion. Il est tout aussi stupéfiant que Netflix ait remis le contrôle créatif à Curtis '50 Cent' Jackson, un opposant de longue date animé d'une hostilité personnelle, qui passe trop de temps à calomnier M. Combs".
La mère de Diddy s’exprime sur le documentaire
Il y a quelques jours, la mère de Diddy, Janice Combs, a vivement critiqué le documentaire sur son fils. Elle affirme qu'il comporte des éléments erronés sur la jeunesse et la vie familiale de son fils : "Le film contient des inexactitudes concernant l’enfance de Sean et notre vie de famille. Les producteurs cherchent à induire le public en erreur et à nuire davantage à notre réputation".
Le documentaire évoque, entre autres, des accusations graves de Kirk Burrows, ancien proche collaborateur, qui soutient que Diddy aurait giflé sa mère. Janice Combs réfute catégoriquement cette version : "Les allégations formulées par M. Kirk Burrows selon lesquelles mon fils m’aurait giflée alors que nous parlions après les événements tragiques du City College le 28 décembre 1991 sont inexactes et totalement fausses. C’était une journée très triste pour nous tous".
Elle met également en cause 50 Cent, qu’elle accuse d’exploiter un drame ancien pour servir ses propres ambitions : "Qu’il utilise cette tragédie et intègre des récits inventés pour alimenter sa tentative passée et actuelle d’obtenir ce qui n’a jamais été à lui, Bad Boy Records, est déplacé, scandaleux et au-delà de l’offensant".