Akon assume d’avoir offert une fausse montre de luxe à French Montana
Depuis quelques jours, une interview d’Akon fait parler dans les médias. Et pour cause, l’artiste est revenu sur le cadeau qu’il a offert à French Montana, une fausse montre de luxe. L’interprète de Lonely assume complètement son geste, Gentsu vous explique tout.
Il y a quatre ans, lors d’une interview, French Montana s’est souvenu d’une histoire concernant un de ses anniversaires. Ce jour-là, il avait reçu une montre de marque Hublot par Akon. Sauf qu’il s’agissait d’une fausse. « Il m’avait donné une Hublot, mais cela n’a pas été remodelé et personnalisé. Et vous savez, j’aime les trucs avec des diamants dessus, alors je l’ai apporté à mon bijoutier. Je me suis dit : Yo, peux-tu me l’échanger ? Akon me l’a offert pour mon anniversaire. Il m’a regardé et m’a dit : qu’est-ce que tu veux dire ? Akon ne t’a pas donné ça, mon gars. », a déclaré French Montana.
Le rappeur pensait que son bijoutier lui faisait une blague ou qu’Akon avait fait une erreur. French Montana a ensuite appelé l’interprète de Lonely et lui a dit immédiatement :
Eh! mon gars j’attends toujours le vrai. ‘Kon, mon bijoutier a dit que c’était faux. S’il te plaît, dis-moi que ce n’est pas le cas.’ Il m’a dit : ‘Quoi ?! Laisse-moi appeler le bijoutier.
Akon s’exprime sur la montre qu’il a offert à French Montana
Il y a quelques jours, VladTV a dévoilé sa nouvelle vidéo sur sa chaine Youtube. On peut y voir Akon, qui évoque plusieurs sujets, et notamment cette histoire de fausse montre qu’il a donné à French Montana. Il affirme qu’il ne ressent aucun remord puisque lui aussi portait la même montre, achetée sans le savoir à Canal Street à New York, connue pour ses produits contrefaits :
Je savais même pas qu’il y avait une différence entre une fausse montre et une vraie. J’ai juste vu la montre, je l’aimais bien. J’en ai acheté deux ce jour-là. Une pour moi, une pour lui. C’était mon gars. Je pensais faire un beau geste (…) En Afrique, on ne connaît pas les marques. On achète ce qu’on aime. Je savais même pas les noms de ces montres, je regardais juste si ça me plaisait.
Akon a admis qu’il ne pouvait pas faire la différence entre le vrai et le faux à l’époque et qu’il était contraint par ce qu’il aimait plutôt que par la reconnaissance de la marque. Il a souligné son soutien aux entreprises africaines et faisant valoir que parfois, les articles contrefaits pouvaient rivaliser avec les produits de luxe en termes de qualité.