Orelsan pourrait-il déménager au Japon comme dans son film "Yoroï" ? Il répond très franchement
Orelsan sort bientôt son film Yoroï et évoque son rapport au travail, la fatigue ressentie, sans envisager un véritable départ au Japon malgré son personnage.
Résumé de l'article
Orelsan sort bientôt son film Yoroï et évoque son rapport au travail, la fatigue ressentie, sans envisager un véritable départ au Japon malgré son personnage.
Ces dernières années, Orelsan s’est fait très discret. Mais le rappeur originaire de Caen fait parler de lui cette année 2025. Et pour cause, l’artiste vient de renouer avec le grand écran, puisque son nouveau film Yoroï est sorti le 29 octobre dernier dans les salles obscures. Dedans, il y incarne Aurélien, un musicien qui après sa dernière tournée décide de s'installer au Japon avec son épouse, enceinte de leur premier enfant. Dans la maison qu'il occupent, Aurélien découvre une armure ancienne, qui réveille d'étranges créatures, les Yokaïs.
Orelsan pourrait-il déménager au Japon ? Il répond
Aussi, Orelsan reconnaît être fatigué quelquefois, vis-à-vis de son métier et de la charge travail qu’il représente. « Le plus épuisant, c’est la somme de tout, d’être constamment en train de gérer des choses, et d’être constamment en train de chercher à résoudre des problèmes ».
Néanmoins, le rappeur affirme n’avoir jamais été épuisé au point d’envisager un changement de vie aussi radical que son personnage : "Je ne me suis jamais barré, je n’ai jamais tout plaqué. Bien sûr, comme tout le monde, il y a des moments où je me dis : peut-être que c’est fini, que c’est le moment d’arrêter […] mais le film parle aussi de ça : de prendre les choses sous un autre angle et de réussir à retrouver de la passion".
Orelsan n’a donc pas prévu de départ au Japon pour le moment. Du moins, il écarte la possibilité d’un déménagement définitif à l’étranger. "J'aurai du mal à quitter ma famille. J’ai des neveux, des parents, j’ai encore mes grands-mères… C’est difficile de se dire : je pars et je suis aussi loin de tout le monde", indique-t-il. En revanche, il n’exclut pas de se mettre au vert et de changer d’air pendant un temps, si le besoin s’en fait ressentir un jour : "Je trouve ça sain, même pour les enfants, d’aller découvrir autre chose. Donc je pourrais peut-être partir un an, mais je pense que je resterais toute ma vie en France".