Maes finalement libéré de prison ? La rumeur enfle sur la Toile
Maes, condamné à sept ans au Maroc pour une opération punitive, fait l'objet de rumeurs de libération non confirmées, sans déclaration officielle de son entourage.
Résumé de l'article
Maes, condamné à sept ans au Maroc pour une opération punitive, fait l'objet de rumeurs de libération non confirmées, sans déclaration officielle de son entourage.
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Cela va bientôt faire un an que Maes a été arrêté au Maroc. Mais depuis quelques heures, une rumeur prend de l'ampleur sur les réseaux sociaux, annonçant qu'il a été libéré. Mais qu'en est-il vraiment ?
Maes avait été interpellé en janvier 2025 à l'aéroport Mohammed V de Casablanca, alors qu'il débarquait d'un jet privé. Cette arrestation mettait fin à une cavale internationale, l'artiste résidant jusqu'alors à Dubaï avec sa famille. La justice marocaine reproche au rappeur d'avoir commandité une opération punitive dans le cadre d'un différend financier. Selon l'enquête, celui qui s'est réconcilié avec Lacrim aurait planifié depuis Dubaï l'enlèvement et la séquestration d'un individu avec qui il était en conflit au sujet de revenus générés par des concerts.
Cette affaire n'a rien à voir avec les faits qui lui sont reprochés en France puisqu'il a été condamné à plusieurs reprises et un mandat d'arrêt international avait été émis contre lui. De plus, le fameux livre L'empire sur les zones sombres du rap affirmait que Maes aurait mis à prix la tête de plusieurs hommes.
Dans la nuit du mardi 25 au mercredi 26 novembre 2025, la chambre criminelle de première instance de Tanger a condamné Maes à sept ans de prison ferme, rapportent plusieurs médias marocains dont le site 360.
Maes secrètement libéré ?
Il y a quelques semaines, les réseaux sociaux de Maes postaient des messages énigmatiques sous-entendant qu'il pourrait bientôt sortir.
Mais cette fois-ci, ce sont des comptes d'informations autour du rap qui ont publié plusieurs vidéos disant qu'il avait été libéré ajoutant que Maes prépare déjà une procédure pour tentative d’enlèvement. Le hic ? Toutes les images utilisées sont d'anciennes vidéos. De plus, ni l'artiste ni son équipe n'a potentiellement exprimé un élément allant dans ce sens. Cette information est donc à prendre avec des pincettes notamment au vu de sa récente condamnation au Maroc.