Une enquête pour sanctionner les influenceurs exposant leurs enfants en cours

Le 13 Sep 2023 à 15:50 par Sikagz

Alors que les influenceurs sont déjà dans le viseur à cause de leurs placements de produits, un nouveau point pourrait leur causer du souci. Cette fois-ci, cela concerne les enfants des créateurs de contenus. Plusieurs personnalités sont concernées comme Poupette ou encore Jazz Correia. Gentsu vous en dit plus.

Il y a plus d’un an, Booba a entamé une lutte contre les placements de produits frauduleux des influenceurs. Un appel qui a été entendu par le gouvernement qui veut désormais les sanctionner. Mais ce n’est pas le seul sujet sur lequel les influenceurs font grincer les dents.

En début d’année, Poupette Kenza a été accusée de maltraitance à l’encontre de son fils Khalis. Mais ce n’est pas tout puisque deux députés l’ont accusé de faits graves notamment en dévoilant des images inappropriées de ses enfants. Mais celle qui a été soupçonnée d’avoir une relation avec RK n’est pas la seule à qui l’on reproche de surexposer sa famille. C’est notamment le cas de Benjamin Samat ou encore de Jazz Correia et de la JLC Family.

Une enquête pour sanctionner les influenceurs exposant leurs enfants en cours

Ce samedi 9 septembre, Le Parisien a mis en lumière les dangers que la surexposition des enfants dès leur naissance peut engendrer. En effet, les images des bambins peuvent venir plus facilement aux mains des prédateurs et se retrouvent sur des forums péd*pornographiques. Si leurs publications se veulent innocentes, le fait de les exposer peu vêtus, en maillot de bain ou dans certaines situations peuvent s’avérer problématiques à l’instar des comptes créés dès leur plus jeune âge.
D’ailleurs, le fondateur de l’association Team Eunomie a tiré la sonnette d’alarme à ce sujet et a confié à nos confrères :

© Instagram © Instagram

Ils offrent sur un plateau ces photos à des péd*philes.

Le Parisien a notamment souligné qu’une proposition de loi pourrait être examinée d’ici la fin de l’année. En cas d’atteinte à la dignité d’un mineur, les parents pourraient ainsi écoper d’une « peine de pris*n » et d’une amende. Une sanction qui pourrait renforcer la sécurité des images sur les réseaux sociaux et qui pourrait sensibiliser les influenceurs vis-à-vis de leurs contenus mettant en scène leur famille.

Qu’en pensez-vous ?

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