« La santé mentale n’a pas tenu » : K. Maro se confie sur sa période difficile à cause du succès

Le 02 Mai 2024 à 14:15 par djfreak

Il y a quelques jours, K. Maro était l’invité de Mouloud Achour dans Clique sur Canal+. Au cours de cet entretien, le chanteur s’est confié sur sa santé mentale et son hospitalisation à cause de son succès. Gentsu vous révèle tout.

Tout le monde a déjà entendu le tube Femme Like U de K. Maro. Le titre a été un véritable carton à sa sortie en 2004. Le chanteur a connu un succès retentissant avec ce single dans de nombreux pays, en vendant plus de cinq millions de singles à travers le monde. Mais cette nouvelle notoriété n’a pas forcément été facile à gérer pour lui au début des années 2000 comme il l’a confié récemment dans son autobiographie Renaissances. Cyril Kamar, de son vrai nom, s’est longuement confié à propos de cette période difficile à Mouloud Achour ce mardi 23 avril dans Clique :

La santé mentale n’a pas tenu… Au bout d’un moment j’ai brûlé la chandelle par les deux bouts.

K. Maro explique qu’il a fait un burn out

Le chanteur a confié avoir fait un burn-out. Il a dû être hospitalisé à cette époque parce qu’il avait perdu énormément de poids, arrivant à 42 kilos. Son succès lui a demandé beaucoup d’investissement puisqu’il a dû en faire la promotion dans de nombreux pays en faisant notamment des concerts ou des showcases :

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La fatigue, tu as l’impression que tu n’arrives jamais à récupérer. En même temps, je mélangeais le boulot que je faisais auprès de mes équipes, ma carrière, le succès et répondre à la demande… Les premiers signes étaient la perte de poids et cette espèce de fatigue. Je revois des images qu’on passe de moi de 2004, 2005 et 2006, je pense que ça se voyait que j’allais mal tourner.

K. Maro a ensuite expliqué qu’il a été exposé à cette époque à la dro.gue et à la vio.lence. Si la tentation était omniprésente dans le milieu musical, l’artiste a réussi à résister grâce à l’éducation inculquée par ses parents :

La dro.gue, je trouvais que mes parents pouvaient me pardonner de mettre une baffe ou deux si je n’arrivais pas à supporter l’autorité, mais je pense qu’il ne m’aurait jamais pardonné… La dro.gue était la ligne qu’il ne fallait pas franchir.


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