Ciryl Gane : cette activité surprenante qu’il faisait pour gagner de l’argent avant le MMA
Ciryl Gane a plusieurs cordes à son arc. En pleine promotion pour son premier rôle dans un film, Bon Gamin est revenu sur sa vie avant d’intégrer l’UFC et comme un bon nombre d’entre nous, il n’a pas grandi avec une cuillère en or dans la bouche. Gentsu vous en dit plus.
Ciryl Gane est numéro trois dans le monde dans sa catégorie en MMA. Mais le sport a toujours fait partie de sa vie. Et pour cause, la star originaire du Havre aurait pu devenir basketteur ou footballeur professionnel avant de se pencher sur les arts martiaux. Mais la crainte d’être séparé aussi tôt de ses parents l’ont refroidi.
Ciryl Gane a ensuite obtenu un BTS dans le domaine de la la vente au lycée professionnel Édouard Branly de La Roche-sur-Yon. Celui qui bégayait dans son enfance a ensuite quitté sa région natale pour s’installer à Paris et poursuivre sa formation en alternance dans un magasin de meubles.
Cyril Gane a alors enchainé les petits boulots tels qu’éboueur, vendeur de literie, de meuble. Finalement, c’est un ancien camarade de classe, Dany Njiba, qui lui a fait découvrir le MMA dans un club de Puteaux.
Ciryl Gane : cette activité surprenante qu’il faisait pour gagner de l’argent avant le MMA
Lors de son passage dans LEGEND pour faire la promotion de ses débuts d’acteur dans KO disponible sur Netflix, Ciryl Gane a évoqué ses débuts à Paris et a confié :
Je courais après ma vie en fait. En fait, il s’avère que j’arrivais pas à finir les choses. Je rentrais très tard le soir. Il fallait que je bosse aussi pour l’école etc. Et il fallait prendre le temps aussi de faire tes papiers, de la CAF etc pour avoir les aides. Sinon tu ne peux pas, tu coules. 700 euros de salaire, 700 euros de loyer et quand tu y vas, il faut faire la queue. Et si y’a un truc qui va pas tu rentres chez toi.
Ayant eu du mal à joindre les deux bouts, Bon Gamin a trouvé une astuce pour faire des économies tout en faisant une bonne action. Il raconte :
En fait j’y arrivais pas. J’achevais pas mon BTS, je courais vraiment après ma vie. Je me souviens quand le midi, au centre commercial où je travaillais, quand tu faisais du don du sang, t’avais des repas derrière. Ils te donnaient des sandwichs et tout. Et je me souviens que je profitais de donner mon sang, parce que je payais ça me donnait un repas. C’était un échange.
Finalement, tout cela est derrière lui aujourd’hui.
