Après sa condamnation, Conor McGregor annonce 2026 comme la « plus grande année de sa vie »
Vendredi dernier, Conor McGregor perdait son procès en appel pour agression sexuelle. Mais l’Irlandais ne compte pas se laisser abattre pour autant. La preuve, il a promis de grandes choses pour les mois à venir via un tweet. Gentsu vous explique tout.
L’année dernière, Conor McGregor devait mettre fin à son absence dans la cage en affrontant Michael Chandler. Mais une nouvelle ble*sure a compromis ses plans. Cependant, la star de l’UFC n’a pas dit son dernier mot puisqu’en apprenant qu’un évènement aurait lieu à la Maison Blanche pour la fête nationale américaine le 4 juillet prochain, The Notorious a promis qu’il serait de la partie :
Je suis de retour dans les listes de l’agence antidopage. Je me prépare à faire mon retour. Je vais me battre à la Maison Blanche puis je disputerai un autre combat, et ensuite nous pourrons discuter.
Et si certains ont du mal à y croire, Conor McGregor a publié une vidéo annonçant une bonne nouvelle puisque l’on a pu lire :
J’ai donné ma première prise de sang, c’est pour ça le pansement sur l’épaule. Je suis EXTATIQUE ! Je suis en FORME !
Après sa condamnation, Conor McGregor annonce 2026 comme la « plus grande année de sa vie »
Vendredi dernier, Conor McGregor a fait la une des médias pour un sujet beaucoup moins sympathique puisqu’il a perdu son procès en appel pour agression sexuelle où il avait été reconnu coupable. Contre toute attente, Khabib Nurmagomedov a confié qu’il espérait qu’il allait se ressaisir.
Mais de son côté, Conor McGregor n’a pas réagi et a préféré se concentrer de nouveau sur ses ambitions politiques puisqu’il a annoncé sur X :
Je prie pour être le président de l’Irlande au moment du combat à la Maison-Blanche. Imaginez comme ce sera emblématique, un dirigeant qui joint la parole aux actes. Je serai en poste depuis plus de six mois au moment de ce combat à la Maison-Blanche… Le mandat de président est de sept ans. Je ferai aller l’Irlande dans le bon chemin en trois ans. Peut-être deux. Et la première année de mon mandat, le point culminant avec un combat à la Maison-Blanche serait la plus grande année dans l’histoire moderne.
Pas sûr que ses démêlés judiciaires l’aident à y parvenir.